Le film Barbie, réalisé par Greta Gerwig, a été retiré des salles de cinéma en Algérie après seulement deux semaines de diffusion. Les autorités locales ont qualifié le film de « choquant » et l’ont critiqué pour ses scènes destinées à un public adulte ainsi que ses allusions à l’homosexualité.
Ce n’est pas seulement en Algérie que le film a soulevé des controverses. La province pakistanaise du Pendjab a également repoussé sa sortie en raison de son « contenu choquant ». Le Koweït et le Qatar ont également banni le film, invoquant des raisons de « morale publique ».
Le ministère de la culture libanais a choisi d’interdire le film, affirmant qu’il fait la promotion de l’homosexualité. Cette décision a suscité des débats animés entre les défenseurs des droits LGBTQ+ et les conservateurs.
Le Vietnam a également exprimé sa désapprobation face à une représentation cartographique dans le film, qui soutient une délimitation géographique défendue par Pékin. Cette décision a également provoqué des réactions aux Philippines.
Ces différentes interdictions et critiques ont jeté une ombre sur le film Barbie de Greta Gerwig. Malgré des débuts prometteurs, le film a été confronté à des obstacles inattendus dans plusieurs pays, suscitant des débats sur la censure et la liberté artistique.
Il est important de noter que ces décisions ont été prises par les autorités locales de chaque pays et ne reflètent pas nécessairement l’opinion publique dans son ensemble. Certains voient ces interdictions comme une atteinte à la liberté d’expression et une tentative de censure de sujets sensibles.
Quelle que soit l’opinion, il est incontestable que le film Barbie de Greta Gerwig a provoqué des réactions contrastées dans divers pays, soulignant les tensions entre la liberté artistique et les valeurs culturelles.
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