Le discours du chef de l’État sur les attaques du Hamas contre Israël suscite le scepticisme des oppositions. Les critiques fusent suite à l’absence de demande de cessez-le-feu de la part du président Emmanuel Macron. La France insoumise et le Rassemblement national attendaient des annonces plus fermes face à la situation qui se dégrade au Moyen-Orient.
De son côté, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) aurait souhaité un appel au cessez-le-feu pour mettre fin aux violences qui ont déjà fait de nombreuses victimes.
Pendant ce temps, l’armée israélienne se déploie de plus en plus près de la bande de Gaza en vue d’une possible opération terrestre massive. Cette escalade militaire inquiète les Nations unies, qui craignent des conséquences humanitaires dévastatrices pour la population civile.
La réponse du président français a également été critiquée par le député écologiste Aurélien Taché, qui déplore le silence d’Emmanuel Macron sur les victimes à Gaza. De même, Olivier Faure, du parti socialiste, est d’accord avec la condamnation du Hamas, mais regrette l’absence de conformité au droit international dans la réaction d’Israël.
Dans cette atmosphère tendue, le Rassemblement national a opté pour le silence, mais demande la fermeture des mosquées liées aux Frères musulmans en France. De leur côté, Les Républicains attendent la suspension de l’aide au développement à l’autorité palestinienne, en signe de pression pour mettre fin aux attaques du Hamas.
Emmanuel Macron refuse pour l’instant de suspendre l’aide à la Palestine, mais des députés macronistes appellent à un examen strict des financements afin d’éviter tout soutien au Hamas.
La population reste en attente de mesures concrètes pour stopper ces violences et ramener la paix dans la région. Les regards sont maintenant tournés vers les prochaines décisions des autorités françaises et internationales.
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