Les pays sud-américains d’Amazonie ont formé une « alliance » contre la déforestation lors d’un sommet à Belém au Brésil. L’alliance vise à promouvoir la coopération régionale pour éviter que l’Amazonie n’atteigne le point de non-retour, où elle émettrait plus de carbone qu’elle n’en absorberait, aggravant ainsi le réchauffement de la planète. Une déclaration commune a été signée par le Brésil, la Bolivie, la Colombie, l’Equateur, le Guyana, le Pérou, le Suriname et le Venezuela pour former l' »Alliance amazonienne de combat contre la déforestation ».
Le document-fleuve de 113 points pose les jalons d’une coopération pour promouvoir le développement durable dans cette région qui abrite 10% de la biodiversité mondiale. Cependant, la déclaration ne fixe pas d’objectif commun pour éradiquer totalement la déforestation, contrairement aux attentes des organisations de défense de l’environnement.
Le président brésilien a évoqué un « nouveau rêve amazonien » lors du sommet, soulignant l’urgence de reprendre et d’étendre la coopération. La conférence de l’ONU sur le Climat COP30 se tiendra à Belém en 2025, donc le sommet fait office de répétition générale.
La France, qui possède un territoire amazonien avec la Guyane, était représentée par son ambassadrice à Brasilia lors du sommet. Emmanuel Macron a appelé à mettre un terme à la déforestation pour protéger les réserves vitales, de carbone et de biodiversité.
Les pays sud-américains d’Amazonie ont décidé de prendre des mesures concrètes pour lutter contre la déforestation lors d’un récent sommet à Belém, au Brésil. Cette alliance régionale a été formée dans le but de prévenir un point de non-retour, où l’Amazone émettrait plus de carbone qu’elle n’en absorberait, aggravant ainsi le changement climatique. Les pays participants, dont le Brésil, la Bolivie, la Colombie et le Venezuela, ont signé une déclaration commune pour former l' »Alliance amazonienne de combat contre la déforestation ». L’objectif de cette alliance est de promouvoir le développement durable dans la région, qui abrite 10% de la biodiversité mondiale.
Le document de 113 points établit les bases d’une coopération entre les pays membres, mais il ne fixe pas d’objectif commun pour éradiquer complètement la déforestation. Cette lacune a été critiquée par les organisations de défense de l’environnement, qui espéraient des mesures plus ambitieuses. Cependant, le président brésilien a souligné l’urgence de reprendre et d’étendre la coopération, en évoquant un « nouveau rêve amazonien ».
Le sommet de Belém a également une importance symbolique, car la conférence de l’ONU sur le Climat, connue sous le nom de COP30, se tiendra dans cette ville en 2025. En tant que pays possédant un territoire amazonien, la France était également présente lors de ce sommet, représentée par son ambassadrice à Brasilia. Le président français, Emmanuel Macron, a appelé à mettre un terme à la déforestation afin de protéger les réserves vitales de carbone et de biodiversité de la région.
Cette alliance sud-américaine contre la déforestation montre une volonté commune de préserver l’Amazonie pour les générations futures. Bien que certains critiques demandent des mesures plus ambitieuses, ce sommet marque tout de même une étape importante dans la lutte contre la déforestation et le réchauffement climatique dans cette région vitale pour la planète.
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