L’actrice et réalisatrice Maïwenn Le Besco a été jugée devant le tribunal de police de Paris pour avoir agressé Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapart, dans un restaurant parisien en février 2023. Maïwenn a avoué à plusieurs reprises avoir agressé le journaliste et a été condamnée à une amende de 400 euros.
L’incident s’est produit pendant que Plenel déjeunait dans un restaurant, lorsque Maïwenn l’a attrapé par les cheveux avant de cracher sur son visage. Plenel a déposé une plainte en mars et l’affaire est devenue publique lors du festival de Cannes, où Maïwenn présentait son film « Jeanne du Barry ».
Cette agression est survenue peu de temps après la publication de l’audition de Maïwenn dans l’affaire de viol impliquant le réalisateur Luc Besson, père de sa fille, par l’actrice Sand Van Roy. Maïwenn a déclaré qu’elle ne s’excusait pas et ne regrettait pas ses actes, affirmant que Mediapart avait manipulé ses déclarations.
Plenel a décrit cette agression comme une attaque contre sa profession et a reçu un euro symbolique de dommages et intérêts. De plus, Maïwenn a été condamnée à verser 1 500 euros de dommages et intérêts à Mediapart, ainsi que 500 euros de frais de justice à Plenel et à son journal. Cette décision a été vue comme une reconnaissance du préjudice subi par le journaliste et une condamnation de l’agression commise par Maïwenn.
Cependant, certaines personnes ont critiqué cette condamnation, affirmant qu’elle était trop clémente compte tenu de la gravité de l’agression. D’autres ont soutenu Maïwenn et ont remis en question l’objectivité de Mediapart dans cette affaire.
Cette affaire a suscité beaucoup d’attention médiatique et a jeté une ombre sur la carrière de Maïwenn, connue pour ses rôles et réalisations cinématographiques. Certains se demandent si cette affaire aura un impact sur sa réputation et sa carrière future.
En conclusion, Maïwenn Le Besco a comparu devant le tribunal de police de Paris pour avoir agressé Edwy Plenel, cofondateur de Mediapart. Elle a été condamnée à une amende de 400 euros et à payer des dommages et intérêts à Mediapart et à Plenel. Cette affaire a suscité des débats sur la gravité de l’agression et l’objectivité des médias impliqués.
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