Plus d’un dixième des soldats israéliens tués dans la bande de Gaza l’ont été suite à des « tirs amis », a déclaré l’armée israélienne. Depuis le début des opérations terrestres, 105 soldats ont perdu la vie, dont 20 dans des accidents. Treize soldats ont été tués par des « tirs amis », tandis que les sept autres sont décédés dans des accidents impliquant des véhicules ou des armes.
Dans un autre développement, le ministère de la Santé du Hamas accuse l’armée israélienne d’avoir attaqué l’hôpital Kamal Adwan dans le nord de la bande de Gaza. Selon le ministère, l’établissement est assiégé et bombardé depuis plusieurs jours par les forces israéliennes.
Les Nations unies ont été appelées à se prononcer sur une résolution demandant un cessez-le-feu humanitaire immédiat dans la bande de Gaza. L’ONU a également alerté sur la situation catastrophique dans l’enclave palestinienne, où le système humanitaire est au bord de l’effondrement.
Cependant, un projet de résolution exigeant un cessez-le-feu humanitaire a été rejeté par un veto des États-Unis au Conseil de sécurité. Les États-Unis ont exprimé leur préoccupation concernant l’utilisation par Israël de munitions au phosphore blanc de fabrication américaine. Ils ont annoncé leur intention de poser des questions pour obtenir plus d’informations sur cette situation.
Il convient de souligner que l’utilisation de bombes au phosphore blanc est interdite contre les civils mais autorisée contre les cibles militaires selon une Convention signée à Genève en 1980. Cette utilisation soulève des inquiétudes quant à la sécurité des civils dans la bande de Gaza.
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