L’économie française devrait éviter la récession, mais connaîtra une croissance de seulement 0,1% au quatrième trimestre, selon les dernières données publiées. Bien que la croissance soit faible, elle témoigne d’une certaine résilience de l’économie nationale.
Dans le secteur des services, l’activité reste solide, mais certaines industries, telles que l’intérim et la publicité, connaissent des difficultés. Cette baisse de l’activité est attribuée à un ralentissement de la demande et à une concurrence accrue.
Quant au secteur du bâtiment, le second œuvre se maintient relativement bien, mais le gros œuvre souffre de la chute des mises en chantier. Les faibles investissements dans la construction immobilière ont un impact significatif sur ce secteur.
L’industrie française connaît également une stagnation, avec un taux d’utilisation des capacités de production au plus bas depuis trois ans. Les carnets de commandes des industriels se dégradent, entraînant une diminution prévue de l’activité en décembre.
Malgré une demande affaiblie, cette situation permet un retour à la normale en termes d’inflation. Les prix restent relativement stables et cela soulage les consommateurs.
En dépit d’un taux de chômage en hausse, de nombreux dirigeants rencontrent des difficultés de recrutement. Cela s’explique en partie par une pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans certains secteurs.
Dans l’ensemble, l’économie française traverse une période de stagnation, avec certains secteurs connaissant des difficultés plus marquées que d’autres. Les perspectives de croissance sont modérées, mais l’espoir reste présent pour une reprise plus solide à l’avenir.
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