Huit policiers ont été interrogés dans les bureaux de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN) à Marseille suite à des soupçons de violences policières sur un homme âgé de 21 ans. Cette affaire a suscité un tollé dans l’opinion publique.
L’un des policiers a été placé en détention provisoire, tandis que trois autres ont été placés sous contrôle judiciaire. Les faits se sont déroulés lors des émeutes qui ont éclaté à la suite de la mort tragique de Nahel à Nanterre.
La victime, un jeune homme de 21 ans, a été violemment agressée lors de ces émeutes. Quatre policiers ont été mis en examen, dont un est actuellement en détention provisoire tandis que les trois autres sont sous contrôle judiciaire.
Les blessures infligées à la victime sont graves, elle a été frappée à coups de matraque et touchée par des tirs de flash-ball à la tête, ce qui a entraîné un hématome intra-cérébral, une fracture de la mâchoire et une perte de la vision de l’œil gauche.
Suite à ces événements, des policiers se sont rassemblés en signe de soutien à leurs collègues devant la préfecture de Marseille. Ce rassemblement a suscité de vives réactions dans la société.
Par ailleurs, une autre enquête a été ouverte par l’IGPN sur la mort d’un homme âgé de 27 ans survenue lors des mêmes émeutes. Les circonstances de son décès sont encore floues et nécessitent des investigations plus approfondies.
Ces affaires suscitent une forte émotion dans le pays et soulèvent des questions sur les méthodes employées par certains policiers lors des manifestations. Des voix s’élèvent pour demander une réforme de la police et un renforcement du contrôle des violences policières. L’IGPN devra faire toute la lumière sur ces événements pour rétablir la confiance entre la police et la population.
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