L’infectiologue Karine Lacombe accuse le médecin urgentiste Patrick Pelloux de harcèlement moral et sexuel. Cette accusation fait écho à des plaintes antérieures datant de 2008, lorsque Roselyne Bachelot a été contrainte de déplacer Pelloux des urgences de l’hôpital Saint-Antoine en raison du comportement inapproprié rapporté par les infirmières.
récemment, des plaintes similaires ont été signalées par Karine Lacombe, affirmant que le comportement de Pelloux était « empreint de domination sexuelle ». Roselyne Bachelot a confirmé avoir déplacé Pelloux vers l’hôpital Necker en concertation avec son ministère et Pierre Carli, le patron du Samu de Paris.
Bien que Bachelot n’ait signalé aucune agression sexuelle à l’époque, elle a déclaré que Pelloux avait un comportement inapproprié envers les femmes. D’autres personnalités de la santé, comme Agnès Buzyn, ont également corroboré ces accusations, affirmant que Pelloux avait été déplacé en raison de ses comportements inappropriés envers les femmes.
En réponse aux allégations, Patrick Pelloux nie catégoriquement toute forme de harcèlement, mais admet parfois avoir adopté un comportement « grivois ». Cette affaire soulève des questions sur la culture du harcèlement au sein du milieu médical et appelle à une réflexion sur les mesures à prendre pour garantir un environnement sûr et respectueux pour tous.
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