Antony Blinken, le secrétaire d’État américain, a récemment suscité la colère de milliers de manifestants aux États-Unis en ne se rendant pas au Proche-Orient afin de négocier un cessez-le-feu et mettre fin aux massacres à Gaza. Depuis le début des bombardements indiscriminés du gouvernement israélien, plus de 22 000 Palestiniens ont perdu la vie dans la bande de Gaza. Parallèlement à cela, l’attaque du Hamas le 7 octobre a coûté la vie à 1 200 Israéliens.
Malgré les images choquantes provenant de Gaza, Antony Blinken n’a pas réussi à trouver une solution pour mettre un terme à ce massacre en cours. Lors de sa récente réunion avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, il a tout de même souligné l’importance de protéger les civils palestiniens ainsi que les infrastructures civiles à Gaza.
Dans le but de faire avancer les choses, Antony Blinken et Benjamin Netanyahou ont convenu d’un plan. Celui-ci permettrait aux Nations unies de mener une mission d’évaluation, dans le but de faciliter le retour en toute sécurité des Palestiniens déplacés dans le nord de Gaza. Cependant, ce plan reste flou et ne semble pas engager les parties concernées.
Il est important de souligner que les États-Unis continuent de soutenir le droit d’Israël à empêcher de nouvelles attaques terroristes, telles que celle du 7 octobre. Cette position peut expliquer la réticence d’Antony Blinken à intervenir de manière plus directe pour mettre fin aux massacres en cours à Gaza.
Malgré les attentes et les réclamations des manifestants aux États-Unis, la situation au Proche-Orient reste tendue et les solutions semblent difficiles à trouver. Il est désormais crucial d’agir rapidement pour éviter une escalade des violences et permettre enfin aux Palestiniens de vivre en paix dans leur propre pays.
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