Les négociations lors de la 28e conférence internationale sur le climat se poursuivront au-delà de l’heure prévue de clôture fixée par le président émirati Sultan Al Jaber. Les pays exportateurs de pétrole, tels que l’Opep et l’Arabie saoudite, résistent aux négociations sur les énergies fossiles. Un nouveau projet d’accord est attendu pour la journée et les pays en faveur d’une sortie des énergies fossiles, comme ceux de l’Union européenne et de nombreux pays insulaires, tentent de trouver un compromis.
Malgré les efforts déployés lors de la 28e conférence internationale sur le climat, les négociateurs se trouvent confrontés à plusieurs obstacles. Les pays exportateurs de pétrole, tels que l’Opep et l’Arabie saoudite, font de la résistance. Ils ne souhaitent pas prendre des engagements fermes pour réduire leur dépendance aux énergies fossiles.
Cependant, les pays en faveur d’une transition énergétique, comme ceux de l’Union européenne et de nombreux pays insulaires, continuent de plaider en faveur de mesures plus ambitieuses. Ils insistent sur la nécessité de limiter l’utilisation des énergies fossiles et de promouvoir les énergies renouvelables.
Malheureusement, le dernier projet d’accord présenté est jugé insuffisant pour répondre véritablement à la crise climatique. Les négociateurs européens et américains cherchent donc à rendre le texte plus contraignant, afin qu’il reflète les enjeux auxquels la planète est confrontée.
Cependant, il est peu probable qu’un accord historique appelant à la sortie du pétrole, du gaz et du charbon soit adopté. Les représentants des petites délégations doivent donc prolonger leur séjour, malgré les contraintes budgétaires, pour continuer les négociations.
Il reste à trouver une formule qui convienne à tous les pays, en particulier ceux dépendants des revenus des hydrocarbures. L’Union européenne considère le projet comme insuffisant et les États-Unis appellent à le renforcer de manière substantielle.
Les ONG et experts critiquent également le projet, le qualifiant de « liste de courses » ou de « menu à la carte ». Selon eux, il manque une réelle cohérence et ambition pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique.
Il est important de souligner que les progrès des objectifs énergétiques dépendent également d’autres textes négociés, tels que ceux sur l’adaptation au réchauffement climatique et l’aide financière aux pays en développement. Ces deux aspects sont essentiels pour accompagner les pays les plus vulnérables dans leur transition vers des modèles énergétiques durables et résilients.
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