Les États-Unis ont mis leur veto à un « cessez-le-feu immédiat » à Gaza lors d’un vote au Conseil de sécurité de l’ONU. Le projet de résolution exigeait un cessez-le-feu humanitaire immédiat, la libération des otages et l’accès humanitaire à Gaza. Cette décision américaine n’est pas surprenante, car elle s’inscrit dans une longue tradition de protection d’Israël de toute condamnation. En effet, c’est la 35e fois depuis 1970 que les États-Unis utilisent leur droit de veto à l’ONU.
Les Palestiniens et plusieurs pays arabes ont vivement critiqué cette décision, soulignant la souffrance inestimable des civils à Gaza. Ils estiment que le veto américain ne fait qu’aggraver la situation déjà catastrophique dans laquelle se trouvent les habitants de cette région.
De leur côté, les États-Unis ont justifié leur position en déclarant que la résolution proposée était déconnectée de la réalité et qu’ils privilégiaient une diplomatie qui sauve des vies. Selon eux, la solution passe par des négociations bilatérales entre Israël et la Palestine, et non par des résolutions unilatérales à l’ONU.
La Russie a par ailleurs salué cette décision américaine, en soulignant une supposée défaillance morale des États-Unis. Moscou a accusé Washington de condamner encore plus de civils en Palestine et en Israël avec cette action.
Cette décision américaine a suscité de vives critiques de la part de nombreux acteurs internationaux. Les appels à un cessez-le-feu immédiat et à la prise en compte de la détresse des civils à Gaza se sont multipliés. Les réactions des pays arabes et d’autres États sont également attendues dans les jours à venir.
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